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Affichage des articles du février, 2016

Grenoble 1er mars : Présentation du livre de Marie-Jo Fressard et de l'affaire Ali Aarrass

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Organisée par « Maroc Solidarités  Citoyennes » Rencontre d’information et de débats sur la solidarité avec les prisonniers politiques au Maroc 1 er mars, de 18h à 20h30 au siège de l’association «  Rencontre des cultures  » 9 rue Hoche à Grenoble (prendre le passage entre la CCI et la crèche « l’Ilot marmots » jusqu’à l’entrée du parc derrière la CCI) Marie Jo Fressard viendra présenter son livre : "Marraine des deux plus anciens prisonniers politiques du Maroc". Condamnés à perpétuité, ils furent libérés en 2008, après une incarcération de 25 ans qui aurait été plus longue sans le soutien et les démarches incessantes de Marie-Jo. Elle sera accompagnée de Luk Vervaet qui a longtemps enseigné auprès de prisonniers à Bruxelles, et qui est très engagé dans la lutte contre les atteintes aux droits de l'Homme, notamment au Maroc : il est aussi animateur du Comité de Soutien au libraire belgo-marocain, Ali Aarras incarcéré au Maroc de

Haren : 10 mois de prison pour une maquette !!?? Quelques réflexions sur la violence de l’Etat.

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par Luk Vervaet Le vendredi 19 février, le Tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné quatre militants anti-prison à dix mois de prison (avec un sursis de trois ans) et à u ne amende de 3600 euros. Ce n’est pas tout. Cette condamnation des 4 pour avoir participé, le 20 mai 2015, à la destruction de la maquette de la prison de Haren, lors d’une manifestation à la Régie des Bâtiments, ouvre aussi la voie à cette dernière pour réclamer 40.000 euros de dommages et intérêts… [1] Un jugement délirant, hors proportion, qui m’amène à quelques réflexions sur la violence de Haren. I. Le tribunal fait un choix politique  D’abord, par son jugement le tribunal fait un choix politique. Celui d’être le relais de la frustration des autorités pénitentiaires, des entreprises et des banquiers [2] contre le mouvement anti-méga-prison à Haren : la maquette détruite étant le symbole d’un projet au point mort.  Huit ans après le lancement de l’idée de la construction de cette méga-pri

Intervention de Luk Vervaet à Bruxelles 14 Février 2016

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Vers une inconditionnelle liberté au Festival Millenium de Bruxelles (25 mars 18h CIVA Ixelles)

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Sélection officielle du documentaire "Vers une inconditionnelle liberté" de Serge Challon et Vartan Ohanian au festival MILLÉNIUM de Bruxelles. Projection le vendredi 25 mars à 18h au CIVA (Le Centre international pour la ville, l'architecture et le paysage), situé Rue de l'Ermitage 55,1050 Ixelles. Like this film on Facebook: click here

Stop à l'Etat de guerre avec Said Bouamama, Luk Vervaet et Nouria Ouali / Dimanche 14 février 14h Pianofabriek

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Dimanche 14 février à 14 heures Pianofabriek Citylab, Rue du Fort 35, Saint-Gilles Facebook click here Programme  La situation actuelle faite de guerre interne et externe, de racisme et d'islamophobie et d'une privation toujours plus importante de nos libertés, débousole et inquiète.  La plateforme stop a l'Etat de guerre, veut réunir les acteurs qui veulent comprendre et surtout agir pour ne pas accepter sans broncher ce qu'on nous dit et impose.  La journée commencera avec une heure d'introduction  Avec Luk Vervaet, Said Bouamama et Nouria Ouali sur les trois sujets qui nous préoccupent la guerre, le racisme et la répression. Nous nous diviserons ensuite en ateliers avec les acteurs de terrain pour discuter et construire ensemble des actions communes. Plateforme Stop à l'état de guerre (facebook click here )  Stop à l’état de guerre, en Belgique comme à l’étranger ! PLATEFORME STOP À L'ÉTAT DE GUERRE · MARDI 29 DÉCEMBRE 2015

Comment la Belgique s'est servie de la double nationalité d'Ali Aarrass pour l'extrader vers le Maroc via l'Espagne

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Les binationaux à la lumière d’Ali Aarrass et de Didier Reynders part two. Luk Vervaet Comment comprendre les propos choquants, le silence et le mépris de la Belgique dans le dossier Ali Aarrass ? Cet homme crie depuis huit ans haut et fort son innocence. Il est Belge et il est enfermé au Maroc. En huit ans de temps, il a entamé six grèves de la faim pour que son pays, la Belgique, l’écoute et lui vienne en aide. Et rien ne se fait.     Dans les rangs des ami(es) d’Ali Aarrass il y a ce sentiment d’incompréhension, de colère et de stupéfaction, quant au refus systématique, depuis près d’une décennie, de l’Etat belge de venir à l’aide à son citoyen. Notre gouvernement, à la recherche des facteurs de « radicalisation » parmi les jeunes, peut ajouter l’attitude de la Belgique dans ce dossier à sa liste.   Il y a eu les manifestations, les interpellations au Parlement, les pétitions, les conférences pour Ali.  Il y a eu les jugements et les rapports des plus hautes inst